Ángela Álvarez Sáez (née à Madrid en 1981). Licenciée en Droit. Elle a reçu une bourse de la Fondation Antonio Gala, une bourse destinée aux jeunes créateurs de la section “création littéraire” durant l’année scolaire 2005-2006. Elle a vécu à Cordoba durant ces années d’études.
Elle a publié différents recueils de poèmes: La torre de las tortugas – La tour des tortues– (Prix Antonio Carvajal, Hiperión, 2006), Metales en la voz – Métaux dans la voix– (Prix Gran Hotel Canarias, Vitruvio, 2006), Las versiones del tigre – Les versions du tigre – (Vitruvio, 2007) y De conjuros y ofrendas – Des sorts et offrandes – (Polibea, 2015). Ses poèmes font également partie de l’anthologie El día que nevó sobre el naranjo– Le jour où il a neigé sur l’oranger – (Livres du Claustro Alto, Córdoba 2006) etEn el viaje, aquellas cartas – Ces cartes durant le voyage – (Prix “delTren 2008”).
Elle a reçu, entre autres, le 15ème Prix commémoratif Luis Rosales, le Premier Prix du Concours international de poésie Café de Oriente “Gerardo Diego”, le Prix du Concours des jeunes créateurs organisé par la Mairie de Madrid (2007), le Premier Prix du Concours Florencia Quintero et le Prix de “La voz más joven 2011” – La plus jeune voix 2011”– (Œuvre social de la Caisse de Madrid). Elle a également été finaliste de la 61ème, 64ème et 65ème édition du Prix Adonáis et accessit au Prix “del Tren 2008” (RENFE).
La maison d’édition Amargord gère actuellement la publication de son nouveau recueil de poèmes La Columna Rota (La Colonne brisée), où les poèmes livrent un dialogue avec les tableaux de l’artiste Frida Kahlo.
Elle réside actuellement à Madrid, où elle se consacre au métier de barreau.
Traduit par Marie Serillon
Né à Cabra en 1951.
Professeur d’université d’Histoire et Docteur en Histoire Moderne par l’Université de Grenade.
En 1995, il a publié son premier roman, El hechizo del rey (Le sortilège du roi), qui a été suivi par la publication de Conjura en Madrid (Conspiration à Madrid) et La biblia negra (La Bible noire). Plusieurs de ses œuvres ont été traduites vers différentes langues.
En tant que romancier, deux thèmes l’ont intéressé – les époques qui constituent sa spécialité historique mais aussi les femmes qui par leur personnalité attirent l’attention de leurs contemporains – comme c’est le cas de Caterina Sforza, protagoniste de La dama del dragón (La dame du dragon) et Hipatia d’Alexandrie, personnage principal d’El sueño de Hipatia (Le rêve d’Hipatia).
En 2005, il fût finaliste pour le prix Torrevieja avec La orden negra.
Il fût le fondateur et premier directeur de la revue Andalucía en la Historia (L’Andalousie dans l’Histoire) entre 2003 et 2006, et il est un collaborateur assidu de revues telles que La Aventura de la Historia (L’Aventure de l’Histoire) et Historia y Vida (Histoire et Vie).
Il a gagné le prix « Juan Valera », le «Monografías » de recherche et l’accessit au prix d’Histoire sociale « Juan Díaz del Moral » pour plusieurs de ses œuvres. Il a également remporté le prix « Juan Bernier » d’Histoire.
Il est membre de la Real Academia (Académie Royale) de Cordoue.
Depuis 2008 il entretient un éditorial d’opinion hebdomadaire dans le journal ABC, dans l’édition de Cordoue.
Traduit par Marie Serillon
Né à Linares (province de Jaén) en 1973. Il étudie un Doctorat en Droit et possède un Brevet de Technicien Supérieur en Économie. Il travaille actuellement pour la mairie de La Carolina.
Ses écrits ont toujours été proches de la musique, en signant des chroniques de concerts, des entretienssur des supports numériques et en collaborant avec différents livres et publications musicales.
Sa première incursion littéraire l’a fait comme le producteur de l'initiative littéraire « Poesía de Club » à travers laquelle sont publiées les œuvres de jeunes auteurs à l’échelle nationale. Plus récemment, en 2013, il devient co-auteur, avec le photographe Juan Pérez Fajardo et le journaliste musical Carlos H. Vázquez, de « Bunbury. En crudo y al natural »– « Bunbury. En brut et au naturel » (Maison d'édition Celya).
En septembre 2014 il publie son premier recueil de poèmes, « El Desahucio » – « L'éviction » – (Maison d’édition CírculoRojo), préfacé par l'écrivain Andrés Pascual.
Il se trouve actuellement immergé dans#365poemas, un projet au sein du quel il s’impose l’écriture d’un poème par jour.
Il a participé à la Deuxième Rencontre Internationale de la Poésie de la Ville d'Úbeda et il a également été inclus dans l’anthologie poétique de cette rencontre.
Traduit par Marie Serillon
Il est né à Madrid. Depuis son plus jeune âge, il est un lecteur avide et il se faisait déjà remarquer pour son étonnante imagination. GinésLadrón de Guevaradépensait son argent de poche en livres d’histoires au lieu de le dépenser en bonbons. Il a grandi en étant très bon élève, mais au sein d’une famille déstructurée.
Il considérait sa grande timidité comme un obstacle à une belle vie, et a donc décidé de changer cela durant son adolescence. Puis, par sa volonté, il a atteint son objectif. De plus, il était terrorisé par la danse et a donc pris des cours de danses; des cours qui lui manquent aujourd’hui.
Il aimait l’histoire, mais il détestait étudier. C’est pour cela qu’il s’est inscrit à une académie spécialisée en scènes d’action, les “Stunts” (cascades). Durant dix ans il a travaillé pour des films, des séries et divers programmes, pratiquant tout type de scènes dangereuses.
Il a arrêté ses études à l’âge de 26 ans, il a trouvé un travail et a quitté la maison familiale. Il a combiné son travail de cascadeur avec d’autres jobs pour pouvoir subvenir à ses besoins.
Passés ses trente ans, il rencontra son épouse, Gemma. Ils se fiancèrent peu de temps après et, un an et demi plus tard naquît le premier de leurs enfants, Alejandro. Par la suite, ils mirent au monde Jorge et Naiara.
Depuis quatre ans, il est plus souvent au chômage qu’au travail, et donc de part son imagination et son expérience dans le cinéma, il a commencé à écrire un script de court-métrage. Ensuite, il s’est lancé sur un long-métrage, qu’il espère publier sous forme de bande dessinée. Plus récemment, il eût l’idée d’écrire un livre d’aventures, comme celui de “Elige Tu Propia Aventura” (“Un Livre Dont Vous Êtes Le Héros”), et a décidé de les adapter au jeu-vidéo Minecraft. Ses enfants Jorge et Alejandro ont été son inspiration et une aide évidente.
Traduit par Marie Serillon
Alison Layland a grandi à Newark et Bradford et a vécu dans de nombreuses villes du Royaume-Uni avant de déménager au Pays de Galles en 1997, où elle vit avec son mari et ses deux enfants.
Elle a étudié les langues médiévales et modernes (anglosaxones, nordiques et celtes) à l’université de Cambridge. Après une courte période, durant laquelle elle a travaillé comme chauffeur de taxi, elle s’est dévouée durant de nombreuses années à l’expertise en tant que Chartered Surveyor, après quoi elle s’est dédiée de nouveau aux langues, son premier amour, et s’est installée en tant que traductrice libérale. Alison fût nommée « Etudiante de l’année du Pays de Galles » en 1999 et en 2002 elle finit à la première place au festival national d’Eisteddfod avec un récit court écrit en gallois. Elle est membre de la société des poètes, écrivains, musiciens et artistes, qui se nomme the Gorsedd of the Bards.
Alison traduit à partir de l’allemand, du français, du gallois pour plusieurs éditeurs et agences et elle apprend le croate de manière autodidacte, suite à des recherches qu’elle a fait pour son premier roman: SomeoneElse’sConflict.
Traduit par Marie Serillon